pour mémoire:
Three Mile Islands 28 mars 1979
Tchernobyl 26 avril 1986
Fukushima 11 mars 2011
Suite à ces trois accidents nucléaires, un certain nombre de questions se posent à la lecture de cet article sur la face cachée de ces trois catastrophes.
42 ans nous séparent du premier accident nucléaire, autrement dire une poussière à l'échelle de la radioactivité artificielle.
Questions entrainant des réponses aux conséquences écologiques non négligeables et non occultables.
1ère remarque:
en Ukraine, à Tchernobyl, a-t-on réfléchi sur la pollution des nappes phréatiques lors de la descente du "corium", amalgame principalement de matériaux radioactifs à longue durée de vie?
2ème remarque:
toujours en Ukraine, à Tchernobyl, il n'est pas question de refroidissement par eau. Pourquoi? Mais d'infiltrations d'eau, d'où viennent-elles? Du sarcophage plus étanche, sachant que les radiations le traversent sans problème?
3ème remarque:
au Japon, à Fukushima, 200.000 L d'eau par jour sont utilisés pour refroidir ce "corium". Mais où va donc ensuite cette eau?
4ème remarque:
toujours en Ukraine, à Tchernobyl, il faut donc attendre une solution technique. Laquelle et quand?
5ème remarque:
il est question de fission nucléaire, principe de base des réacteurs de centrales nucléaires donc émission de particules nommées neutrons. L'action du bore naturel de type 11B (80% naturellement) ou enrichi de type 10B (20% naturellement) en tant qu'absorbant neutronique est connu depuis longtemps étant utilisé sous forme d'acide borique dilué dans l'eau. Alors pourquoi n'est-il pas utilisé, sachant que sous forme dilué son action en profondeur s'avère réalisable et efficace?
Moralité: le bore, est le cinquième élément du tableau périodique des éléments. Ironie de l'Histoire après les quatre éléments, chers à Empédocle (Vème siècle avant JC) et aux philosophes grecs, que sont l'air, l'eau, le feu et la terre, le bore sera-t-il le sauveur de l'Humanité?
Bore de Symbole B